04 décembre 2006

Je suis bordelaise !!!

Un message super court mais pour dire simplement que je ne suis pas morte au fond de la cambrouze. J'ai déménagé ce week-end à Bordeaux, je commence mon nouveau boulot (toujours pour la WC) ce soir et je n'ai pas encore le net.
Plus d'explications dès que j'ai récupéré une connexion et un ordi (oui, en plus mon ordi est dessossé pour devenir d'ici quelques jours une bête de course).

26 novembre 2006

Musique

Je vous ai déjà dit que les percussions, ça me faisait des trucs tout partout?


24 novembre 2006

Du sang

Depuis environ deux semaines, je suis l'heureuse titulaire de l'afps, soit l'attestation de formation aux premiers secours. Késsessé? Ca veut dire que si vous vous coupez, si vous vous étouffez, si vous êtes dans les vapes, si vous ne respirez plus, je peux vous aider. Pas forcément vous sauver mais aider. Et c'est déjà pas mal.

J'ai passé ce truc à Bordeaux avec la Croix rouge et aussi avec l'homme... C'était bien mais pas facile. Qu'est-ce que tu me manques et qu'est-ce que je t'aime.
On a eu droit à de la théorie mais aussi à de la pratique : j'ai été la victime ensanglantée (ouééé, plein de faux sang qui me coulait entre les doigts) et l'homme a pété toutes les côtes du mannequin pour le massage cardiaque.

C'était chouette, j'ai appris plein de choses mais pourquoi passer l'afps maintenant et surtout avec l'homme? Tout simplement parce que, cette année, pour pouvoir s'inscrire au concours d'instit, il faut savoir nager et sauver les pitits nenfants. Les autres années, il suffisait de l'avoir une fois le concours obtenu mais cette rentrée, grande nouveauté, il fallait l'avoir pour le 15 novembre. Donc tous les inscrits se sont jetés sur la croix rouge comme la misère sur le bas clergé. Donc maintenant, je peux vous sauver. En tout cas, j'essaierais parce que j'ai une obligation d'agir mais pas de résultats uhuhu.

13 novembre 2006

Entretien d'embauche

En live ou presque :

Un nouveau resto de la World Company doit ouvrir à Bordeaux, recrutement de masse, tout le monde le même jour. Je suis en avance, 1/4 d'heure (une heure en fait mais j'ai traîné en ville). Et on est là, on arrive petit à petit, nous les candidats, tous super jeunes, on n'est que deux ou trois "vieillards". Les recruteurs (directeurs ou superviseurs, I don't know) sont là, 4-5, ils causent, ils clopent, ils nous matent un peu, ils ricanent.

Je stresseeeeeeeeeeeee.... et j'aime pas ça. Il faut assurer comme une bête, il me faut ce job, parce que c'est à Bordeaux, parce que c'est mon ticket de retour. Han, encore dix minutes.
J'ai un avantage (au moins un) : je bosse déjà pour la WC mais comme tous les restos sont des franchisés, c'est pas déterminant. C'est pour ça que les prix varient, les uniformes aussi, d'un établissement à l'autre. Ils n'ont pas tous le même propriétaire donc pas tous la même politique. Les procédures sont identiques (faudra que je vous parle de la "fu*ll kitchen" un de ces quatre) mais certains détails diffèrent.
Comme l'uniforme donc. Le mien est particulièrement moche. L'homme trouvait (j'ai horreur de cet imparfait) que l'on ressemblait à des pompistes old school, moi je me trouve juste l'air particulièrement abruti avec la casquette.

Je stresseeeeeeeeeee. Encore cinq minutes. Mais je stressais pas avant ?!?! Maintenant, depuis quelques mois, oui, ça m'a attrapé. Je psychote, j'ai chaud, j'ai froid, je panique, ah non, je panique pas mais merde-euh....
Quatre minutes. Et l'un des recruteurs arrête pas de me mater. Forcément, je suis la seule à être en face de lui, à m'être assise dans leur ligne de mire. Alors, j'essaie d'avoir l'air avenant mais pas trop, sympa mais pas niaise.
Trois minutes, c'est long.

Deux semaines plus tard, je me décide à écrire la fin (pas de l'histoire mais en tout cas du billet) :

Et tout ça pour quoi? Pour obtenir un rendez-vous pour passer un test d'aptitude en conditions semi-réelles. GNEEEEE???? Si on réussit le test, si on résiste au stress, l'an*pe vous présente ensuite à l'entretien d'embauche.
Putain de bordel de ta mère, vous êtes en train de me dire, bande de grougnasses, que je viens de me taper un réveil à 6h du mat' et 150 bornes pour CA? Han, je vais les frapper...
Bon, j'ai pris les devants, je suis allée voir direct le futur directeur du resto WC et j'ai annoncé mon appartenance à la grande famille. Ben, croyez-le ou pas, il m'a convoqué direct pour l'entretien. Nooooon, c'te blague! J'y vais lundi (soit dans quelques heures) et peut-être que je serais sur la rampe de lancement direct pour Bordeaux très vite.

Et oui, tout ça pour ça

03 novembre 2006

Sauvée

J'ai le oueeeebbbb !
Mais je suis à Bordeaux toute la journée (pour un entretien) donc pas de nouvelles tout de suite mais ça arrive.

J'ai le oueeeeebbbbbbb !

29 octobre 2006

Chanson débile

Je suis spécialiste des chansons improvisées et débiles. Il faudra que je retrouve celle écrite pendant une épreuve du capes, elle était plutôt mal. Celle-ci est particulièrement nulle mais je l'ai inventée en faisant un bout (un tout petit bout) de vaisselle hier soir.

Moi, je voudrais que mon chéri, il revienneeeee
C'est parce que je l'aimeeeeee

Et quand il reviendra,
Je lui ferais plein de bisous (oui, ça rime pas)
Et je ne quitterais plus ses bras (ah si, ça rime des fois)

Ce sera vraiment trop chouette
On passera notre temps à faire des galipettes

Sans oublier les papouilles et les gratouilles

Moi t'aime !

Même pas honte

28 octobre 2006

Avertissement

Multipostage ce soir. Je profite de la connexion chez mes parents pour le faire. Et comme j'ai pas l'intention de passer ma vie chez eux (ne pas visualiser de pendaison, non, ni de tronçonneuse...), je poste plein de trucs d'un coup. 3 en fait.
Voilà.

Avantages/Désavantages

post supprimé parce que.

Sourd

post supprimé parce que.

News

Pooka a plus de jus, Pooka est hors du monde. Déjà qu'avec internet, c'était limite mais alors sans... Je retrouvais une connexion la semaine prochaine vu que ces connards de F*** m'ont coupé le oueb ici avant de l'ouvrir dans le nouvel appart. Bande de gros cons !

En attendant, je m'agite un peu mais pas trop. J'ai réglé la plupart des problèmes administratifs : ouvert une nouvelle ligne téléphonique (55 euros), pris un nouveau contrat pour l'eau (34 euros), e*d*f (18 euros) et fait migrer ma connexion (0 euro et encore heureux blaireaux !). Je suis aussi allée à la poste pour faire suivre le courrier mais j'ai oublier de prévenir l'organisme qui devait me faire une formation lundi et mardi. Coup de fil passé, ils étaient pas là, j'ai laissé un message, m'en tape. Dès que j'aurais internet (quels gros nuls), je ferais le changement d'adresse pour les impôts, la caisse maladie et il faut que je prévienne les allocs de mon déménagement mais là, je me demande si je dois leur dire que je suis seule ou pas... Je commence aussi à regarder d'un peu plus près les logements sur Bordeaux mais tant que je n'aurais pas de boulot, c'est pas la peine de rêver. D'ailleurs, en parlant boulot, j'ai un entretien lundi *croisage de doigts*

Les cartons avancent doucement, super doucement, j'en ai déjà fait et amené une bonne trentaine et je vais sans doute avancer la date de la mobilisation générale (transport des gros trucs). Je pensais le faire dans le courant de la semaine prochaine pour profiter d'internet le plus longtemps possible mais puisque que le oueb is dead, autant faire ça le plus vite possible. Genre mardi.

Fin du post supprimé parce que.

Coïncidence

post supprimé parce que.

Plus de jus

J'ai plus interneeeeeeeet
Ouuuuuuiiiiiiiinnnnnn

Et en plus, j'avais prévu plein de posts que j'avais gravé sur un dvd mais mon frangin, il a pas de lecteur dvd ce naze.
Donc, je trouve un cd-rw et je reviens.
Demain.

Fait chiéééééé.

22 octobre 2006

Des nouvelles du déménagement

Comme je l'avais dit dans un post il y a longtemps, dans une autre vie, nous avions obtenu un appart en hlm. Je fais l'état des lieux jeudi prochain, le 26 octobre, et j'emménage avec mes cartons. Je vais vivre avec eux (et la sale bête) sans rien déballer, sans rien installer parce qu'à la première occasion, je pars à Bordeaux. Je cherche du boulot très activement depuis le 4 octobre, jour maudit entre tous, et dès que je tiens une promesse d'embauche entre mes petits doigts boudinés, je pose mes deux préavis : un pour la boîte à cons, l'autre pour l'appart. Mais pour ce premier déménagement, je suis mal barrée. On est samedi, le 21 et j'ai fait une vingtaine de cartons, soit un cinquième à peu près, à vue de nez.
Ca se voit qu'en ce moment, j'en ai rien à taper de rien? Ou que je m'en branle de tout?

09 octobre 2006

Pooka se balade

Depuis quelque temps, ça va pas bien fort dans la vie de Pooka (pour les innocents, le précédent message est assez clair, je pense). Donc, Pooka veut se changer les idées et pour y arriver (ce sont des tentatives déséspérées, elle n'arrive jamais à se changer les idées, elle est obnubilée par une seule chose), elle se balade.
Ca a commencé par Toulouse, le post est écrit, quelque part sur un petit carnet, ça s'est poursuivi par Paris le week-end dernier et cela continue demain par Bordeaux. Pour les deux premières villes, attention spoualeur énorme, y'a de l'alcool dedans, moi qui n'en avais pas bu une goutte depuis presque 14 ans. Pour la dernière, mon chez-moi, c'est en vue de préparer le grand retour. Donc entretiens d'embauche et recherche d'appart.
J'en profite pour lancer un appel. Je suis donc à la recherche d'un boulot. Tout et n'importe quoi, tant que ça me paie un loyer et mes factures. Je suis extrêmement motivée (même si je n'en ai pas l'air), je vendrais ma mère pour retourner à Bordeaux (vu l'engin et nos relations particulières, ça me coûte pas beaucoup de le dire). Mon cv est aussi, euh... intéressant : j'ai été guide touristique, pionne, prof, équipière mcdo, serveuse (dans cet ordre). J'ai peur de rien ni de personne (mais c'est pas une révélation) et je m'adapte à tout mais faut pas trop se foutre de ma gueule non plus hein !

Bref, tout ça pour dire que des messages arriveront sans doute dans le courant de la semaine pour raconter mes balades exutoires et le résultat des entretiens. On y croit, on y croit.

09 septembre 2006

euh....

Pas de news depuis pffff longtemps parce les deux-trois dernières semaines ont été très agitées (un boulot de merde kasskooye et une vie privée un peu chamboulée). Mais rêvez pas, vous ne saurez rien. Va falloir que ça décante...
Je pars en week-end à Toulouse la semaine prochaine, je ramenerai des photos.
Ou pas.

17 août 2006

Le concert (suite et fin)

Au mois de juillet, nous avons eu la chance, que dis-je la chance, l'immense honneur de (presque) assister à un concert de Patr*ick Sé*bastien (que je vais appeler "l'aut' là" à partir de maintenant parce que j'en ai marre des astériques) direct au fond du jardin, organisé par le club de ruguebi local. Ils ont commencé à préparer les esprits à la chose un bon mois avant avec force affiches et banderoles. Puis la semaine précédant l'événement, prospectus dans la boîte aux lettres et "pass riverain" pour pouvoir rentrer chez soi sans encombre (tu parles).
Quand je dis au bout du jardin, c'est vraiment ça. Devant chez moi : un terrain vague et hop, le stade, rien pour arrêter les décibels en folie du petit bonhomme en mousse. Mais dans notre malheur, l'homme et moi travaillions ce soir là, enfin, surtout moi, Chéri a eu droit à presque l'intégralité, il était super content. Rentrant de la World Company après plus de 9 heures de taf ce jour-là, mon "pass résident" entre les dents (ben oui, j'ai les deux mains sur le volant quand je conduis), je m'en reviens guillerette (et explosée) dans mon home sweet home. Et là, que vois-je? Une grosse barrière au milieu de la rue mais point de bozo pour me l'ouvrir. Et oui, le concert des enfers venait de finir, il fallait faire la circulation. Mais merde, moi aussi je circule ! Heureusement que la Pooka mobile est du genre petite, j'ai pu passer entre la barrière et le mur du voisin (oué, sur le trottoir carrément). Une fois rentrée, je me suis crue sauvée. Bouh la niaise ! C'était sans compter sur deux éléments...
Le premier : les voisins n'étaient pas allés au concert, vu qu'ils étaient aux premières loges comme nous. Ils avaient donc fait "Grand Prix de Monaco" staïle et avaient invité des amis pour assister aux festivités.
Le second : les rappels de la foule en délire et le bal populaire qui a suivi jusqu'à 3h du mat'.
Je récapitule : Pooka explosée du boulot + voisins qui reprennent les chansons en coeur + corne de brume de leur fille + concert hurlant jusqu'à pas d'heure = une Pooka avec la bave aux lèvres, hurlant aux voisins de rentrer chez eux et d'arrêter de faire chier le monde (y'avait un "bande de connards" aussi dans la tirade je crois).
Voilà un bien pâle résumé de ce merveilleux événement qu'a été le concert de l'aut' là (en fait, je m'en suis pas servi de mon abréviation) au fond de mon jardin.
A vous les studios !

Je tiens à préciser qu'il est tôt, que je n'ai pas relu et que dyslexie powa oblige, doit y avoir des fautes de partout... Je regarderai demain.

15 août 2006

J'suis bien emmerdée...

J'avais promis du sang sur les murs, des dents sur le plancher (j'avais aussi promis lundi mais bon...euh...) et j'aurais presque rien à dire. Le feu d'artifice était chouette et en plus, juste devant chez nous. On n'a eu qu'à ouvrir la porte et on a tout vu, en échappant aux hurlements des gniards... des pitits nenfants, à la fumée et à la foule. Donc chouette. J'aurais bien fait artificier (artificière?) comme métier, j'aime bien faire péter des choses. Bref, le feu d'artifice était mieux que certains que j'ai vu à Bordeaux.
Je n'ai même pas eu besoin d'aller me méler à la populace parce que j'ai pas de rejeton à coller sur un manège, hurlant parce qu'il n'a pas réussi à avoir le tour gratuit. Par contre, j'ai assisté aux courses pédestres zé cyclistes ainsi qu'au concert de Pa*trick Séb*astien y'a un mois (et je ne m'en suis toujours pas remise). Par quoi je commence ?

La tradition des fêtes locales expliquées à l'homme, citadin pure souche

Tout a commencé par un "mais keskessé que ce bordel? J'ai voulu acheté Courier International (oué, on s'intéresse au monde, nous) et la place est condamnée. C'est pas le jour du marché pourtant. Font chier ces saloperies de touristes, suis sûr que c'est leur faute!". Ahem. Chaque village de quelque importance a droit à sa fête votive tous les étés, ici dans le Périgord (ailleurs peut-être aussi mais j'en sais rien, j'y suis pas allée). Dans notre bled, c'est autour du 15 août. La place se remplit de manèges pour les pisseux (mais je l'ai déjà dit), de pêche aux canards et autres attractions pompe à fric mais aussi de tir à la carabine (parce qu'on est des hommes) et d'auto-tamponneuses (ça doit porter un autre nom, faut que je demande au chéri), terrain de chasse des ado du cru. Ca aussi je le sais, je l'ai fait. Oui, j'ai eu 15 ans et j'ai été d'une connerie sans nom, tournant autour de la piste en ricanant pour attirer l'attention du bogoss du moment. Ca marchait jamais, allez savoir pourquoi...
*soupire*
*a un peu honte*
*surmonte*
Bref, en plus des attractions décoiffantes sus-citées, diverses animations sont proposées par le comité des fêtes. Ca peut être tout et n'importe quoi, souvent des défilés : des majorettes, des chars fleuris, des pititnenfants des zécoles. Ici, c'est la course. A pied et à bicylette (à bicyclettttttte). J'ai assisté à la course à pied en presque nocture parce qu'on m'avait dit qu'il y aurait à manger. La soirée a bien commencé quand l'homme, rentrant du boulot, a failli emplatrer le mec de la sécurité qui voulait pas bouger son gros cul pour le laisser se garer devant chez nous à ......10 mêtres. Donc les sportifs devaient faire quatre fois le tour du quartier. Le premier a plié ça en 34 minutes, le dernier, j'en sais rien, j'en avais marre, les brochettes étaient chères, je me suis cassée.
Quant à la course cycliste, le départ et l'arrivée étaient carrément dans notre rue avec un podium et tout et tout. Les coureurs ont dû passer 40 fois devant mes fenêtres mais au troisième passage, j'avais plus d'âneries à leur dire ("vas-y Roger", "on est avec toi Norbert", "Raoul, t'es le meilleur") donc je me suis cassée (suis pas très persévérante comme fille).
Je pensais enfoncer le clou en critiquant le feu d'artifice mais non. Heureusement qu'il me reste le concert de Patr*ick Sébast*ien...

Mais demain, parce que là, je rentre du boulot et je suis claquée...

12 août 2006

Teaser

A venir dimanche soir ou plus probablement lundi (ou pas), un billet sur les sorties, les événements qui agitent périodiquement mes voisins. Prévoir un billet plein de méchancheté gratuite, de mauvaise foi haineuse voir des moqueries mesquines. Se préparer aussi à l'évocation dans le même paragraphe de courses cyclistes zé pédestres et d'un concert de Pa*trick Sébas*tien.
Mondieumondieumondieu...

Précision : je dis dimanche ou lundi parce que j'attends les dernières réjouissances de fin de week-end pour clore mon étude anthropobouzesque.

10 août 2006

Démanagement : sur les rails

Le déménagement est en route. Maintenant que nous avons obtenu le futur appart', il fallait se débarasser de celui-ci. C'est chose faite : préavis envoyé et coup de fil au propriétaire parce qu'on est poli. J'aurais pu oublier de lui parler du papier peint lacéré par la sale bête pendant mon dernier remplacement mais je suis trop honnête (des fois).
Donc, cette semaine, c'est ménage et rangeage, okazou le proprio voudrait faire visiter. Enfin, c'est le plan de bataille que m'a refilé l'homme... Vu que je ne travaille pas pendant quelques jours, il faudrait que je fasse la vaiselle, les vitres, les sols, que je passe l'aspirateur, que je range le linge qui traîne. Il paraît qu'il en a marre de vivre , je cite de mémoire, dans "un bordel permanent" avec une incarnation du "chaos rampant" (ça doit être moi) et son "familier démoniaque" (casse-toi chaton, c'est pour ta pomme).
Bref, j'ai rangé les papiers qui trainaient (je les ai déplacé hors de vue), j'ai balancé pas mal de choses à la poubelle (y'avait des trucs douteux) et j'ai passé l'aspi (10 minutes). Pour faire tout ça, il m'aura fallu deux...... jours. Suis épuisée, ferais le reste demain.

31 juillet 2006

On the road again...

C'est reparti, Pooka, l'homme et la sale bête déménagent encore (la 5ème fois en 10 ans pour moi). Le décollage est prévu pour le 1er novembre. Je remets un petit truc déroulant comme l'année dernière. Le sticker qui compte les jours passés loin de Bordeaux est toujours là, en pied de page. Je laisse le nouveau dans ce message et s'il venait à disparaître de la page principale, parce que j'aurais trop posté (on peut rêver), je le collerai aussi en bas.




26 juillet 2006

Pooka mal poliche

Je viens de relire une partie des messages de ce blog (vu le nombre, c'est rapide) et une chose m'a frappé. Non, en fait deux. La première, je me fais rire toute seule. C'est pas glorieux, limite ça fait peur mais je me bidonne sur mes propres anneries. C'est déjà pas mal.
La deuxième, oulalah qu'est-ce que je suis vulgaire ! Je cause mal, c'est pas possible. Alors oui, la plupart des billets sont des râlages en règle et me servent de défouloir mais quand même, ma bonne dame, on aurait presque envie de lui laver la bouche avec du savon, à cette Pooka pour lui apprendre à utiliser autant de gros mots, merde alors...
Oups

Addict again...

Waaaaaah, deux messages en deux jours, keskissepas? C'est la chaleur? Sais pas mais rentrée du boulot à pas d'heure (vive la restauration), je pensais faire un petit tour sur le net avant de m'écrouler sous sur la couette. Que nenni, je me balade, je glandouille, je dis merci (merci Gloria) et je me décide.
Lors de ma balade bordelaise de ce week-end, je suis allée faire un tour chez Mollat et à la feunacque et j'ai acheté le bouquin que vous voyez là, à côté. Nous n'avons pas acheté que ça, l'homme et moi, mais j'étais tellement obnubilée par celui-ci que j'ai aucune idée des autres trucs que mon chéri a ramené. Le Chaos est le dixième tome français de la saga de G.R.R. Martin, Le trône de fer. Il correspond à la première partie du quatrième tome anglo-saxon A Fest for Crows, le titre original de la série étant A Song of Ice and Fire (je crois bien).
Bref, j'adore ces bouquins. C'est riche, c'est cohérent, c'est réaliste, les méchants sont pourris jusqu'au trognon et ils enc... niq...écrabouillent les gentils qui s'en prennent plein la tête. Tout le monde ramasse, d'ailleurs parce que G.R.R. n'a aucun scrupule à tuer, mutiler, rendre barges ses héros. Par contre, faut pas avoir peur du foisonnement de personnages dans le premier tome (français), on s'y fait très vite et chacun a une vraie profondeur et une complexité très différente de ses petits camarades. J'aime beaucoup aussi le système de narration choisi par l'auteur. Chaque chapitre est centré sur un des héros, ce qui permet de voir évoluer l'histoire avec des points de vue différents, d'être à la fois au coeur de l'action mais aussi de prendre un certain recul si la scène a déjà été vue avec quelqu'un d'autre.
Je ne suis pas critique littéraire, ça se voit parce que je blablate, cébienliséle, mais j'ai pas dit de quoi ça causait. Alors, c'est de la fantasy mais de la grande, l'action se déroule dans le monde médiéval et suit les aventures des membres de la famille Stark, pris dans la tourmente, dans la guerre qui secoue leur pays. Et c'est pas un spoualeur que dire qu'il va y avoir la guerre parce qu'avec des titres comme : la bataille des rois ou la loi du régicide, on a vite compris qu'on avait pas affaire à un guide de jardinage.

Vous savez ce qu'il vous reste à faire...

25 juillet 2006

Virée bordelaise

Dimanche soir, l'homme et moi, comme ça, d'un coup, on a décidé de prendre la voiture et de retourner à la civilisation. De retourner chez nous, là-bas, dans la grande ville. Oh, pas bien longtemps, 24 heures tout au plus. Parce que marre de cette cambrouze pourrie, marre de ces ploucs qui nous épient, marre de tout ce qu'on trouve ici. On blinde la gamelle de la sale bête et hop, on décolle. Atterrissage moins de deux heures plus tard, vautration au pub avec pote inclus (salut delancy!) et surtout on respire, on regarde. On retient ses larmes aussi dans mon cas parce que même après un an d'exil, parler de ma ville, y penser me prend toujours les tripes et je chouine, punaise, on dirait une vraie gonzesse...

Pas de photo : un, j'ai pas d'appareil et le portable est pas super performant la nuit; deux, suis une grosse feignasse et même si j'avais un appareil, je ne suis pas vraiment sûre de m'en servir; trois, pas besoin de prendre Bordeaux en photo, je la connais, je ne suis pas prête de l'oublier.
Je conseille donc le blog de Gloria qui a récemment fait, elle aussi, une balade dans la capitale girondine (, , ici et encore par là, sans oublier Bordeaux by night). Trois choses que Gloria fait mieux que moi :
- mettre son blog à jour plus régulièrement que moi (c'est pas bien difficile)
- prendre des photos (j'ai pas le réflexe, j'y pense deux heures plus tard)
- faire la cuisine (elle est super forte, je suis une cause perdue)

03 juillet 2006

World Company Stories 1.0

Quand on travaille pour la world company, on en voit des vertes et des pas mûres, dans le boulot et chez les clients. Sur le taf en lui-même, je ne dirais rien, j'ai une clause de confidentialité et j'ai pas pour habitude de mordre la main qui me nourrit. Donc, si vous voulez des détails croustillants sur l'intérieur du dedans de la WC (uhuhu), passez votre chemin. Par contre, chez les clients, y'a de quoi faire et de quoi écrire. Florilège / compilation / morceaux choisis.

Le bad boy-bogoss : on commence par le plus agréable (miam). Un tatoué, de partout. Ca pourrait être moche, ça devrait l'être, ben même pas... Ce mec avait une aura qui a failli foutre toutes les filles présentes dans le resto à ses pieds, à pwal. Et il le sait, le salopard. Tu reviens quand tu veux hein ! Slurps...

Le collier "lol" : J'ai fait la connaissance du zyva rural aussi appelé racaille cambrouzesque. Essayez d'imaginer un mec de la France profonde qui décide que la té-ci, que le look M.Pokodaube, c'est toute sa vie (mouarf) et qui déboule avec potes, bimbos gloussantes et chaînes en or... Qui a des insinuations bien lourdes sur la condition féminine et qui me prend à témoin, veut mon approbation sur "les nanas, ça veut être tenu, elles veulent savoir qui est le patron, elles aiment ça"... Bien sûr, bien sûr. Toi y'en a être un gros niais de parler comme ça à moi, moi y'en a t'apprendre à vivre. Grosso modo : "Rien à battre de ce qu'un merdeux bouzeux d'à peine 20 piges et 50 kg peut bien penser, tu prends tes potes, tes bimbos et ton collier lol et tu vas jouer ailleurs, j'ai pas que ça à foutre". Nanmého.

"Ceci quoi?" : Un groupe de trentenaires (3 garçons, 1 fille, plein de possibilités...) en provenance directe de la capitale (trahis par leur accent). Ils commandent chacun leur tour, le tout sur la même addition. Arrive garçon n°2, il passe commande et je sors ma phrase rituelle "et avec ceci?", phrase partagée par tous les serveurs de l'hexagone. Mais là, ça bug. "Ceci quoi?" Quatre paires d'yeux exorbitées (ses potes et moi) se tournent vers le niais (gné?). La jeune fille tente de le sauver : "la madame te demande si tu veux manger autre chose." Réponse : "Ah non, moi, j'ai soif"... Grosse fatigue...

Le rigolo du drive : quand on est au "drive" (le service au volant pour les non-initiés), on voit passer pas mal de trucs pas piqués des vers. Dont le mec qui se croit drôle. Déjà, il arrive à 230 km/h (au moins) et rate le guichet. Au moment où je me penche pour l'appeler, il recule et je tombe nez à nez avec son air rigolard : "je vous ai bien eu, ahahahah, la bonne blague". Mouais. Il passe sa commande, pour un régiment, mais bon, ça arrive d'être en service commandé pour la famille ou les potes. J'annonce le prix et Mr Jesuistropdrôle reprend du service : "en fait, vous enlevez tout sauf le menu bigmachin, c'était une blague ahahahah". Aaarrgghhh. Booon, je préviens le dernier guichet que c'était une blague (grrrr) et j'essais de ne pas emplatrer Mr Mdrlolkikoojesuistropdrôle. Je lui tends l'appareil à carte bleue et hop, c'est reparti, il fait semblant de se barrer avec... Je me trouve héroïque de ne pas lui avoir fait bouffer ses dents et son humour à la mords-moi-le-noeud. Du con.

Les bouzeux goyo : Au drive toujours. Deux jeunes bien bien de la cambrouze, bouzeux à donf et qui font de l'auto-émulation goyesque. Bouzeux 1 prend un burger, bouzeux 2 en prend 2 donc bouzeux 1 en rajoute un et ainsi de suite jusqu'à un total de 7 burgers. Le tout accompagné de force coups de coude et de uhuhuhuh, keskonédrol (eux aussi) et trofor et trobo... Misère.

Le drive, c'est pas un manège : last but not least. Quand il manque des produits sur une commande, on demande aux clients de patienter sur des places de parking réservées et, je trouve, bien signalées. Mais faut croire que non. Un soir, je revois passer une voiture qu'il me semble bien avoir déjà vu y'a pas 10 minutes. "Il vous manque quelque chose?" "Non, mais c'était pas prêt, on nous a dit d'attendre mais on n'a pas compris où et comme on savait pas quoi faire, on a refait un tour"... Oscour.

*va se pendre*

19 juin 2006

Y'en a au moins un qui est content

Je râle autant que je peux et que je sais faire sur la cambrouze depuis que j'y suis, presque 10 mois maintenant (10 mois, raaaahhh, putain, kill me now). Je râle, je grogne, je peste, l'homme râle, grogne et peste aussi autant si pas plus que moi. Bref, on se fait chier, ça nous fait chier, on s'emmerde, on en peut plus, on rêve que d'une chose, retrouver le béton, les gaz d'échappement et les merdes de chien sur les trottoirs. Si, je vous jure, vous vous rendez compte du manque maintenant?

Mais le troisième locataire, lui, il s'éclate, la cambrouze, c'est son truc.
La sale bête est un traitre, il veut rester lui. Et j'ai même des preuves.

Pas plus tard que tout à l'heure, je le trouve vautré.

Jusque là, rien de bien extraordinaire, c'est un chat, se vautrer n'importe où est une seconde nature chez lui. Mais ce qui me met la puce à l'oreille est qu'il est réveillé et qu'il ne bouge pas d'un quart de poil quand je m'approche de sa gamelle... Bizarre...
Ah, il bouge. Mais pour rentrer dans la salle de bains. Keskifé?

De mieux en mieux, je comprends rien à ce qu'il fout (là aussi, rien de nouveau sous le soleil) mais c'est louche, je sniffe la connerie chatounesque. Approchons nous, peut-être que la clé du mystère est dans le détail et la précision. Evidences never lie comme dirait gourou Grissom.

Ah, j'en étais sûre, c'est une connerie et une grosse. On voit pas très bien mais c'est bien un pigeon coincé derrière le radiateur de ma salle de bain. Ce tueur psychopate, ce serial killeur, cet égorgeur assoiffé de sang m'a encore ramené une bestiole et pas crevée en plus! Après les petits lézards (appelés rapiettes dans cette contrée éloignée de tout même du petit Robert et du Grevisse), les souris et les bébés pigeons, voilà l'upgrade, le must de la proie : le pigeon adulte de la voisine.
J'aurais pu/du foutre le chat dehors à grands coups de pied au cul mais je l'ai pas fait. Et pourquoi? Pour une raison toute simple et un peu mesquine : parce que autant ça me crispe de voir ma salle de bain pleine de plumes et de sang (si si...), autant savoir que ce piaf faisait partie de l'élevage puant de la vieille d'à-côté me fait presque plaisir. Oué, autant enlever le "presque", bien fait pour sa gueule.

13 juin 2006

Je suis le roi de la route...

... je vais à 200 à l'heure, je peux faire Paris/Beyrouth en une demie-heure. (Nonnes troppo)

Faites place à Pooka, la reine de la route, la terreur de l'asphalte...

En rentrant du boulot tout à l'heure, j'avise que les feux tricolores du riant village que je traverse sont éteints. J'avise aussi un superbe panneau en forme de losange, blanc et jaune, me donnant la priorité. Je m'engage donc au milieu du carrefour (ça bouchonne un peu). Là, un conducteur sur ma gauche me lance un appel sonore assez vif. Encore imprégnée de la world company's touch, je lui demande gentillement s'il y a un quelconque problème. L'individu n'arrive qu'à éructuer un "je passe". Ce à quoi je réponds : "je suis désolée monsieur (ahhh, la world company's touch), mais ma route est prioritaire donc je passe la première". Ceci n'ayant pas l'heur de lui convenir, le rustre me réplique : "ben, la p'tite dame, elle va prendre sa petite voiture de gonzesse, elle va se garer sur le côté et elle va laisser la place à ceux qui savent vraiment conduire".
Je vous laisse imaginer ma réaction... Planquez les enfants et les âmes sensibles, je vais être vulgaire. Voilà ma réponse : "va te faire mettre, connard (ça commence fort). Je vous emmerde, toi et ta bagnole de blaireau, je passe la première que ça te plaise ou non et si ça te plait pas, c'est dans ton cul. Nanmého!"

Pour un retour sur le blog (jusqu'à quand, ça, tu sais pas), il fallait bien un post Pooka Label rouge.

12 mai 2006

Pooka versus World Company

Pas de news depuis pffffff super longtemps mais j'ai une excuse terrible, la mieux du monde, une excuse vraiment en béton : j'ai trouvé du boulot.

Pas un boulot de prof ou en rapport avec les gniards... euh les pitis nenfants mais un boulot pour payer le loyer et les croquettes de la sale bête. Parce que prof remplaçante sans remplacement,ça va bien un moment mais pas trop longtemps quand même, je cite mon banquier et mon frigo. Ce dernier commencait d'ailleurs à ressembler à un western spaghetti avec les bottes de paille qui volent dans le vent chaud du désert et... bref, il était désespérement vide. Comme le titre le laisse deviner, je n'ai pas été embauchée par une pme locale mais par une multinationale de la restauration rapide. Pas de besoin de faire un dessin, c'est assez clair je pense. Sinon, vous êtes trop cons et/ou limités, cassez-vous.

J'ai donc commencé cette semaine et le vrai boulot
(je dis que les fonctionnaires de l'EN sont des feignasses si je veux, je suis experte en feignasserie moi-même, je sais reconnaître mes congénaires), han, ça fait mal . Aux pieds (saloperies de chaussures trop petites), aux jambes (courir partout pendant six heures, merde-euh, je suis pas marathonienne), aux bras (oui, moi aussi je vous aime mes petites poubelles de 100 litres d'amour), aux doigts (putain mais c'est brulant ce bordel!) mais pas trop au cerveau. Enfin, si un peu quand même. Retenir la commande des quatre lycéens qui veulent douze sandwichs et sept boissons tous différents ou celle de la famille nombreuse avec les boîboîtes spéciales pour les gni...pitis nenfants, c'est pas si évident que ça.

Sur ce, je retourne me coucher. Je ne bosse que demain soir mais pour le "rush" du samedi soir. Comprendre : tous les affamés du monde se donnent rendez-vous au même moment, au même endroit : devant ma caisse. Et non, je ne flippe pas. J'assure comme une bête.

Oscours !!

30 avril 2006

Des fois, j'me demande...

...si mon chat n'est pas un peu limité.
Ci-dessous, la photo de son nouvel endroit de prédilection de la semaine.
Oui, sur sa litière. Il dort sur sa boîte à caca. C'est du grand n'importe quoi mais il faut se l'avouer maintenant, il est trop tard pour se voiler la face, les preuves sont accablantes et nombreuses, très nombreuses.
Mon chat est con. Je dirais même plus : con comme un melon.
*soupire*
*retourne se coucher*
*dans son lit, elle est pas si bête, elle*

25 avril 2006

Vide

Vide... Comme un blog pas mis à jour...
Pourtant, j'ai des idées de trucs à dire. Par exemple, ma dernière expédition en date à l'anpe et ma découverte des ateliers cv (abattez-moi), ma critique super constructive de ma nouvelle addiction, Oblivion (pétard mouillé) ou encore le fight sauvage de la sale bête y'a pas une heure (oué, du sang, ça faisait longtemps).
Mais non, j'ai la flemme, j'ai pas envie et en plus, je m'énerve toute seule devant mon écran.

Pour éviter la transformation en Pooka-garou, je crois que je vais m'abstenir.

Vous me croyez si je vous dis que tout me fait chier?

07 avril 2006

Gougueule ricouestes

Moi aussi, j'ai des gougueule ricouestes. Mouahahahahahahah, c'est le début de la gloire...
Alors, commençons par icone poulet roti. Pas mal pour un début mais le poulet roti, je ne le mets pas en icone, quelle drôle d'idée, je le mange. D'ailleurs, je suis retournée en acheter un aujourd'hui, ça faisait longtemps. On va dire que je suis en vacances depuis une semaine, que l'homme prend les siennes la semaine prochaine et qu'il faut fêter ça (prétexte bidon detected).
Ensuite, vient comment pui je trouver un code pour debloquer mon bios ? (fôte incluse). Je pense que cet internaute désespéré a dû arriver sur cette note. Pour conclure cette histoire de bios, j'ai réussi à y accéder, sans cérémonie occulte, sans démontage, juste en appuyant sur la bonne touche... Ben oui, le mode d'emploi dit "del" et moi j'appuie sur la touche "retour/flèche vers la gauche" alors que parait-il, il faut appuyer sur la touche "suppr". N'importe quoi ! *part se cacher*
J'ai gardé le meilleur pour la fin. Deux ricouestes jumelles ou presque (attention, préparez-vous, ça décoiffe) : vieille conne et vieille connasse... No comment. Enfin si, un petit. J'ai fait quoi dans ma vie antérieure pour être poursuivie comme ça, hein, faut me le dire ! Qu'est-ce que j'ai bien pu faire comme horreurs pour que, même dans les gougueule ricouestes, je me tape encore des vieilles kasskooye ? J'étais une psycho-serial-killeuse de chatons?

06 avril 2006

Chat de moi 3.0



Deux belles balafres, sur le pif pour l'une et sous l'oeil pour l'autre. L'est pas passée loin celle-là...
Mon chat, c'est un warrior, un killer, le boss du quartier.

Ou alors, il s'est mangé une branche basse de la haie dans laquelle il dort tous les après-midi...

04 avril 2006

Accro au dernier stade...

Voilà ce que je vois en tournant la tête, sur le mur à ma droite :
La carte du monde d'Oblivion... Limite ça fait peur...

31 mars 2006

Oblivion, will you marry me?

Multipostage parce que même si je suis en vacances (ou au chômage...), je ne suis là pour personne. Il suffit de voir la colonne de droite. J'ai acheté et installé Oblivion.
Ceux qui ont joué à Morrowind comprendront, les autres, ne me dites pas que vous ne vous servez de votre ordi que pour lire des blogs ou pour msn ? Si ? Naaaan, je veux pas le croire, honte sur vous.
Pooka, roliste et accro à ses jeux vidéo, vous snobe de toute la puissance de sa carte graphique, bande de nuls.

E*D*F m'a tuer

Il y a peu, le chéri et la Pooka ont failli crever d'une attaque simultanée, là, comme ça, comme des cons, dans le salon, devant un papier. Mais deux gentils gens comme nous (cf où j'en parle) ne peuvent pas clamser devant un bête papier. Il faut que ce soit un "papier des Enfers", au moins. Genre. Presque. C'était une facture de E*D*F.
Je sais que le clamsage est répandu devant une facture de téléphone mais nous, on a choisi l'électricité. Et oui, on fait rien comme tout le monde (on sait, on nous l'a dit).

Nous avons donc aménagé en octobre dans cette charmante cambrouze pourrie. On a pris un peu ce que l'on a trouvé dans la famille des "pas trop taudis quand même" et notre première facture était raisonnable. Mais il y a quelques semaines, ce con de facteur nous a apporté la douloureuse. Plus de 4.325.569 euros, les batards ! (non, j'exagère pas) Donc évanouissement simultané, pamoison mutuelle et hurlements synchronisés. Médoukessavien cette consommation ?
Après une rapide enquête, nous avons trouvé les coupables. Ils sont 5 et voici l'un d'entre eux :
Saloperie de chauffage électrique de merde (rah, ça va mieux).
Ni une, ni deux, on a tout coupé. Oué, en février, oué, on est des aventuriers du quotidien, nous, madame.
Mais quelques jours plus tard, l'homme et moi avons un nouvel ami :
Mr. Poêle à pétrole. C'est sûr, il sent un peu et il est soûlant de se vider à la vitesse de la lumière (non, j'exagère pas) mais passer d'une consommation de 300 kWh par semaine à 70, ça n'a pas de prix. Enfin, si, carrément, ça en a un !

29 mars 2006

En vacances !

Un remplacement qui se termine, ce sont des vacances qui commencent. Ouais, un peu de repos ne me fera pas de mal mais surtout du silence. Raaaahhh, du silence...

Pour une fois, la fin de ce remplacement tombe plutôt bien, à la fin des conseils de classe. J'ai eu le temps d'aller à tous et de faire un petit compte-rendu à la titulaire. J'ai bien préparé la fin, j'ai noté où j'en étais dans les leçons et j'ai aussi fait des photocopies de mes cours pour que la propriétaire du poste puisse faire les interro. Mais, mais... j'ai fait du boulot à l'avance !!!
Comme quoi, tout arrive, faut pas désespérer.

En parlant de trucs qui arrivent, les perles des quelques interro que j'ai faites en deux mois sont aussi en approche. Il faut juste que je mette la main dessus. Avec un peu de bol, je retrouverais celles des années précédentes...

16 mars 2006

Histoire de chats...

Aujourd'hui, en sortant du boulot, j'ai vu un chat neuneu. Je le vois souvent ce chat (google me dit que c'est un chartreux) gris (ou bleu, je suis pas spécialiste des couleurs des chats de race, je préfère les "n'importe comment dans le dedans de leurs chromosomes"). Sa maîtresse a l'air bien neuneu aussi. Elle le promène en laisse. Oui, oui, en laisse, sur la place devant chez elle, emmitouflée dans un gros manteau (j'habite et je bosse dans le Sud-Ouest), avec un énorme bonnet en laine sur la tête. Un pompom au bout du bonnet. Neuneu. Et elle lui dit à cette pov'bête : "Allez, vas-y, vas-y". Vas-y quoi? C'est pas un caniche...

Bref, ce chat était sur une chaise derrière sa fenêtre ce soir et quand il m'a vu, il s'est levé d'un seul coup et s'est jeté sur la vitre. J'ai fait un bond de 12,5 mêtres de trouille mais je suis restée et il a re-sauté. Comme un neuneu. Mais ça m'a fait bien rigoler alors je me suis pinquée devant la fenêtre du chat gris (ou bleu) neuneu pendant un quart d'heure ce soir pour le voir sauter comme un cabri, rien que pour moi.
C'est chouette de rigoler devant une bestiole, ça fait du bien...


edit : je viens d'ouvrir le blog avec ie (je sais pas ce qui m'a pris) et il est tout pourri avec la colonne de droite en bas au lieu d'être en haut. Je pourrais me prendre le chou à arranger ça mais que dalle, téléchargez firefox, ça marche tout pareil que ie (pour ceux qui ont peur du changement) mais en mieux, genre ça plante pas et ça te bloque ces saloperies de pop-up de merde (oui, j'aime pas trop).

25 février 2006

Kung Fu Fighting

Elles sont finies les vacances, suis retournée au boulot...

Résumé de la semaine :


Pas besoin de développer je pense. Je retourne me coucher...

18 février 2006

Le gras, c'est la vie

J'arrête pas de raler sur la cambrouze, que c'est trop pourri, que les gens sont tous des gros ploucs. Et c'est vrai. Mais bon, je suis dans le Périgord et dans le Périgord, on est sensé bien manger. Je suis donc aller faire un tour au marché du vendredi et je ne suis pas revenue les mains vides.
Premières victimes :

Des pommes de terre sautées soit un mélange de patates, de petits lardons, d'herbasses diverses et variées et de graisse de canard. Je bave.
Deuxième victime :

Un poulet roti. Il était pas périgourdin mais corrézien, on s'en fout d'ailleurs, le monsieur qui me l'a vendu m'a dit qu'il s'appellait Pierre et qu'il était mort dans d'atroces souffrances. J'adore, il était super bon.

Une troisième victime est à déplorer :

La sale bête qui a fait tout ce qu'elle a pu pour en avoir un bout. Ce sale chat a chouiné, a miaulé, a grimpé sur la table mais rien n'y a fait....euh... si , il en a eu un peu mais faut pas le dire, c'est pas bien pour le dedans de lui.

13 février 2006

Nouvel en-tête

J'ai bidoullé un peu l'en-tête du blog. Ca faisait un moment que l'idée de changer l'image de base fournie avec le modèle me trottait dans la tête. J'ai cherché la nouvelle image, j'ai retaillé, j'ai mis en ligne et tadaaaa, c'est trop beau!

L'image est tirée du site de Stephanie Pui-Mun Law, Shadowscapes que ça s'appelle. Allez y, vous ne serez pas déçus et si vous êtes déçus, ben, c'est qu'on a pas les mêmes goûts, ce qui est fort dommage, je serais alors obligée de vous jeter des cailloux tellement vous êtes nuls.

Le dessin de l'en-tête en entier :

12 février 2006

Chat de moi 2.0

Rien de spécial, juste que mon chat, même si c'est le yéti, même s'il a été livré en version sumo, ben, il reste la star de ce blog.

Il neige !

Il neige !!
Euh, il a neigé y'a deux semaines et une seule journée mais je suis une grosse feignasse donc j'en ai pas parlé plus tôt.
J'aime bien la neige, elle me rappelle évidemment plein de souvenirs, de grosses boules bien dures dans la tronche de mon souffre-douleur préféré aka mon voisin. Mais la neige, en aussi grande quantité, j'en avais pas vu depuis longtemps. En 10 ans à Bordeaux, il a du neigé deux fois à tout casser et faut voir ce que c'était. Trois flocons merdeux transformés en bouillasse à peine arrivés au sol...
Un des avantages de la cambrouze, ça tient un peu.
Je le prouve :

06 février 2006

Chat de moi 1.0

Il est 21h19 et la sale bête est en train de faire un truc énorme, gigantesque. Je suis pliée de rire mais en silence pour ne pas le perturber. Le chat est donc couché sur son espèce de tabouret, il a commencé à se lécher et là, d'un coup, il met ses pattes dans le "vide" et il les agite doucement, en les regardant, l'une après l'autre, les deux en même temps, une toute seule... Un coup de langue et il recommence. Je ne sais pas s'il a vu un quelque chose, réel ou non mais c'est fendard.
C'est pour ce genre de moment que j'ai un chat, entre autres raisons. J'adore ces bestioles, je veux être réincarnée en chat. Oui, oui, je suis parfaitement au courant qu'ils dorment 20 heures par jour...

On the road again

Comme je l'avais déjà précisé quelque part en bas, là, dans le début du blog, je suis prof remplaçante mais sans remplacement depuis juillet. Après les ennuis qui sont tombés sur le coin du blog d'un proviseur, je n'entrerais pas dans les détails. Mais depuis le 1er février, j'ai retrouvé du travail. Oh, c'est pas Byzance, un contrat de deux mois mais ça fait du bien de repartir bosser. Le hic : le collège (des "petits", ouf, après deux lycées, ça repose) est à 150 km de mon nouveau chez-moi.

Et dire que j'ai déménagé en partie pour me rapprocher d'un éventuel boulot...

News......news.....news.....news..

Du nouveau sur le blog. Plutôt que de faire de longues notes tous les 36 du mois, je vais essayer le format court et plus souvent. Je ne sais pas ce que cela va donner et si je vais le tenir mais qui ne tente rien n'a rien !

05 janvier 2006

Ras les cahouètes

Un gros silence pendant presque un mois. Oulala, keskissepas chez Pooka? Ben, Pooka, pendant les vacances de Noël, elle a eu 30 piges. Et ça lui a foutu un coup, je vous dis pas. Nan, en vrai, Pooka, ses 30 ans, elle s'en branle. Grave. Grave de chez grave. C'est les autres que ça a l'air de traumatiser. "Ah, mais c'est la petite Pooka. Elle a 30 ans? Nooooon?" Si ducon, compte bien, toi aussi t'as pas rajeuni, le cimetière est proche (je le sais, j'habite juste en face). Quant à la famille, n'en parlons pas. Enfin, si, ça défoule de baver sur les gens surtout quand on est sûre et certaine qu'ils ne viendront jamais ici.

J'ai eu donc mon lot de grands discours dont le thème récurrent semblait être "il est temps de construire, dans tous les sens du terme" avec la fin de la phrase suspendue comme il faut, que je comprenne bien le double sens de la chose, parce que, voyez-vous, dans ma famille, on me prend pour une demeurée (mais j'en parlerais une autre fois).
Le premier sens auquel on pense quand on est un peu sorti de son trou bouzeux, c'est "construire sa vie", avoir un boulot avec plein de pépettes et plein de gniards qui courent partout. Déjà, c'est super mal barré parce que je suis au chomdû, que l'homme a un boulot de daube et que, si on ne décroche pas un concours de l'éduc nationale cet été, la mierdasse risque de se poursuivre un peu. Quant aux enfants, je serais brève. Dans notre cas, c'est "no pasaran". Voilà, je développerais peut-être un autre jour mais c'est pas sûr.
Si contrairement à ce que j'ai dit un peu plus haut, vous êtes un bouzeux jamais sorti de son trou, déjà, un, qu'est-ce que vous foutez ici? Vous avez réussi à allumer l'ordi. Bravo, y'a de l'exploit! Et, deux, vous avez parfaitement saisi le sens de l'expression "il est temps de construire" (j'explique pour les "pas fut-fut", les mecs de la ville) : IL FAUT SE FAIRE BATIR, selon la formule consacrée à Ploucland.
Mais là, je dis non, no way, pas possible, tu te fous le doigt dans l'oeil bien profond si tu crois que je vais rester dans cette cambrouze de merde plus longtemps que nécessaire. Parce que oui, cela fait seulement 4 mois que je suis ici et j'en peux plus, je pète les plombs, je tourne en rond, où est mon proza*c? Ras-le-bol de tous ces pignoufs, de leur vie de chiotte, de leurs rituels à la con et de leur manie omniprésente de juger, d'épier tout ce que tu fais et de te clouer au piloris parce que, ô mon dieu, tu dors jusqu'à 11 heures un samedi matin. Et le bricolage alors? Et les courses? Parce que tu passes ton dimanche à jouer tranquillou avec ton pc. Et le match de foot? Et la promenade? Parce que tout le monde le sait, il faut prendre l'air sinon tu meurs.
Bien sur, on ne manquerait pas de me rétorquer (j'ai fait des études de lettres, je connais des formules qui déchirent) qu'il n'y a pas que des cons à la cambrouze, la preuve, y'a moi. Oui.... pourquoi pas.... Présentez m'en un pour voir. Alors....rien...., voilà, on cherche encore.

En conclusion, vous l'aurez compris, je suis à la limite du nervous breakdown (si, si), je sature et je vais craquer. Cela pourra prendre deux formes (j'ai 30 ans, j'ai une looongue expérience maintenant) : ou j'irais me pendre (probabilité de faisabilité = 0,1%), ou j'irais en exploser un/plein (probabilité de ramasse tes dents par terre = 3000%).

J'EN AI RAS LES CAHOUETES DE CETTE CAMBROUZE DE MERDE