17 août 2006

Le concert (suite et fin)

Au mois de juillet, nous avons eu la chance, que dis-je la chance, l'immense honneur de (presque) assister à un concert de Patr*ick Sé*bastien (que je vais appeler "l'aut' là" à partir de maintenant parce que j'en ai marre des astériques) direct au fond du jardin, organisé par le club de ruguebi local. Ils ont commencé à préparer les esprits à la chose un bon mois avant avec force affiches et banderoles. Puis la semaine précédant l'événement, prospectus dans la boîte aux lettres et "pass riverain" pour pouvoir rentrer chez soi sans encombre (tu parles).
Quand je dis au bout du jardin, c'est vraiment ça. Devant chez moi : un terrain vague et hop, le stade, rien pour arrêter les décibels en folie du petit bonhomme en mousse. Mais dans notre malheur, l'homme et moi travaillions ce soir là, enfin, surtout moi, Chéri a eu droit à presque l'intégralité, il était super content. Rentrant de la World Company après plus de 9 heures de taf ce jour-là, mon "pass résident" entre les dents (ben oui, j'ai les deux mains sur le volant quand je conduis), je m'en reviens guillerette (et explosée) dans mon home sweet home. Et là, que vois-je? Une grosse barrière au milieu de la rue mais point de bozo pour me l'ouvrir. Et oui, le concert des enfers venait de finir, il fallait faire la circulation. Mais merde, moi aussi je circule ! Heureusement que la Pooka mobile est du genre petite, j'ai pu passer entre la barrière et le mur du voisin (oué, sur le trottoir carrément). Une fois rentrée, je me suis crue sauvée. Bouh la niaise ! C'était sans compter sur deux éléments...
Le premier : les voisins n'étaient pas allés au concert, vu qu'ils étaient aux premières loges comme nous. Ils avaient donc fait "Grand Prix de Monaco" staïle et avaient invité des amis pour assister aux festivités.
Le second : les rappels de la foule en délire et le bal populaire qui a suivi jusqu'à 3h du mat'.
Je récapitule : Pooka explosée du boulot + voisins qui reprennent les chansons en coeur + corne de brume de leur fille + concert hurlant jusqu'à pas d'heure = une Pooka avec la bave aux lèvres, hurlant aux voisins de rentrer chez eux et d'arrêter de faire chier le monde (y'avait un "bande de connards" aussi dans la tirade je crois).
Voilà un bien pâle résumé de ce merveilleux événement qu'a été le concert de l'aut' là (en fait, je m'en suis pas servi de mon abréviation) au fond de mon jardin.
A vous les studios !

Je tiens à préciser qu'il est tôt, que je n'ai pas relu et que dyslexie powa oblige, doit y avoir des fautes de partout... Je regarderai demain.

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