08 septembre 2011

Bon, par quoi je commence...

Il semblerait que je me sois absentée un petit moment mais que voulez-vous, je suis débordée...
Je bosse, je joue, je brodouille (un peu, pas des masses non plus), je glande (là par contre, je vais battre des records).
J'avais perdu mon mojo, voyons si je le retrouve...
On va commencer simplement, par la dernière connerie de la Sale Bête.
Il y a quelque temps, j'ai arraché le papier peint merdique du couloir, qui menaçait de toute façon de nous tomber sur le coin de la gueule. Il était jaune, il était moche, il était condamné, hasta la vista baby (name that movie). J'ai trouvé dessous des choses indicibles et non-euclidiennes (name that author) mais j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai enduit, repeint. J'ai failli y laisser ma santé mentale mais j'ai vaincu. Victoire à la Pyrrhus parce que c'est bien vilain mais au moins c'est fait.
Mais ce n'est apparemment pas du gout de tout le monde. Oh, El Marido n'a rien dit sur la non-perfection du couloir (enfin, il a bien grommelé des trucs mais j'ai décidé de ne pas écouter). Non, c'est la Sale Bête qui a décidé que tout ce blanc, ça n'allait pas.
Preuve en image :


 Comme on voit pas bien et que je suis une brave fille, un gros plan :


L'enfoiré. J'ai trouvé un bout de griffe par terre, avec des bouts de mur et il boitillait un chouia. Mais il a pas chouiné, sachant qu'il aurait peu de compassion de ma part.
Suis bonne pour retourner dans la cavekicrin, récupéré l'enduit et le fond de peinture pour réparer la mille et un, mille et deux (name that too) connerie de sa Seigneurie Puduku.