03 janvier 2008

Coussin secundo

Ne sachant pas à quelle sauce j'allais être mangée par les blouses blanches le week-end dernier, j'avais sommé El Marido de me rapporter dans ma cellule chambre d'hosto deux trois babioles pour passer le temps : bouquins et broderies. Je me voyais mal avec la pixie et ses 90 couleurs donc j'ai pensé à un énième machin commencé et laissé en plan depuis un petit moment.
Rappelons nous le fameux coussin di mierda. Depuis le chat l'a adopté, il est plein de plis, de poils et de trucs dégueu, je suis sûre qu'il bave dessus en dormant. Mais il se sentait seul (le coussin, pas le chat) et comme j'avais une seconde housse, je me suis dis que ça glamouriserait trop mon intérieur si je faisais un second coussin, un peu dans le même genre.
Ni une ni deux, kit dmc jasmin et voilà :
Et il est resté comme ça pendant pffff... des semaines mois.
Mais aujourd'hui, le coussin secundo est de retour sur le devant de la scène, dans les sunlights et je le prouve :
On voit très nettement (ou pas) les deux rangées de points bleus en haut mais j'ai mis le tambour, ce qui est un signe indiscutable de retour en grace.

J'ai pas dit que j'allais le finir, attention, j'ai dit que j'allais le continuer. Tout est dans la nuance...

01 janvier 2008

Il n'y a plus d'abonnée...

Je suis une fille balèze. En deux heures, je suis passée de ça :
à ça :
Ouais, trois tuyaux, carrément. Quand je suis malade, je fais pas semblant.
Et non, ce n'est pas la faute de mon sublime gâteau à la fraise, qu'il était très bon. A deux heures du mat' le 29 décembre, alors que ce n'est officiellement plus mon anniversaire, je commence à avoir mal. Dans la matinée, ça ne va plus du tout. Et bien sur, nous sommes samedi pendant la semaine des fêtes, youkaïdi, youkaïda.
Bon, je suis sauvée, pas de décès à signaler cette fois-ci (même si j'ai beaucoup pensé à me jeter par la fenêtre, la douleur n'étant pas une super compagne de jeu).
Et le petit détail qui fait rigoler jusqu'au fond des chaumières : je bosse demain. Je préviens donc aimablement la population bordelaise (et mes collègues par la même occasion) qu'il faudra mieux ne pas trop me courir sur le haricot. Ou alors, faudra pas pleurer après.
Punaise, je vendrais ma mère pour des vacances...