J'ai donc repris le boulot hier et ça m'a tellement perturbée que je poste deux messages en deux jours. Mazette, la fièvre me guette.
Depuis qu'El Marido a repris le chemin de l'école, je me retrouve toute la journée toute seule comme une glandue. Et du coup, il parait qu'il faut que je m'occupe des tâches ménagères. J'ai cherché dans Wikipedia de quoi il s'agissait, j'étais pas bien sûre de moi. Il semblerait que je doive faire la vaisselle, passer l'aspirateur et laver le linge. Ouais, bon, ça craint. J'ai tenté un truc facile, la lessive. Je balance tout ce qui pue dans la machine, je mets en route, je laisse trainer le panier (je laisse souvent trainer des tas de trucs) et je vais glander faire autre chose.
Deux heures plus tard, voilà ce que je trouve :
Apparemment, je dérange. Ce chat, comme pas mal de ses congénères, est amoureux du panier à linge mais aussi de tous les cartons possibles et imaginables. Surtout ceux trop petits pour son gros cul. Je voudrais bien faire sécher le linge kipuplu mais cette sale bête emploie des méthodes déloyales pour éviter de se faire déloger : il me mord et pire que tout, il me bave dessus. Après un tel traitement, tu te retrouves avec une main qui daube le vieil égout, un vrai bonheur. Donc j'ai laissé tomber.
Qui dit femme au foyer à temps partiel (ben oui, je continue à aller gagner ma croûte à la sueur de mon front à la WC), dit cuisinière. Bon, sur ce point précis, c'est vraiment pas gagné. Autant je déconnais sur les autres activités ménagères (si si, je sais faire la vaisselle, l'aspirateur est hors concours, c'est un instrument du démon), autant la cuisine, je suis une bille mais de catégorie interstellaire. Sauf pour les gatals.
Voici donc en exclusivité mondiale, mon quatre-quart à la poire :
Il est trôbô. Pas de vue en coupe pour deux raisons. La première, la coupe est moche, toutes ces abruties de poires sont collées dans le fond. Le seconde, quand El Marido est à moins de 50 mètres du gatal, sa durée de vie est réduite à peau de chagrin. RIP petit gatal, tu m'as rendue fière. Je raconte n'importe quoi.
Enfin, j'ai un chouia avancé sur mon Winter Warmth. Je m'étais arrêtée après la première grosse maison, deux petites sont venues la rejoindre. La pauvre, elle se pelait toute seule dans la neige et elle est contente que ses copines maisons soient là pour lui tenir compagnie. Je raconte vraiment nawak, c'est un vrai bonheur.
Pinaise, je crois que j'ai bloggé pour le mois, finissons-en là avant que je ne me fasse un claquage combiné des phalanges et des neurones.