06 janvier 2009

Le cottage, tout de suite la suite

J'ai repris avec délice mon cottage abandonné au grenier (son grenier, pas le mien, j'habite un appartement au rez-de-chaussée, j'aurais du mal à avoir un grenier). J'en avais ras le bol à un point rarement atteint de ces iris pourris, leurs tiges me sortaient par les naseaux, c'était pas beau à voir.
Donc le cottage. J'avais terminé le dernier étage (parce que je l'ai commencé par le haut), la chambre rose. J'avais failli avoir une attaque devant tant de rose Bar*bie mais j'ai tenu bon et j'ai attaqué la maçonnerie de la pièce suivante. Ou plutôt des pièces suivantes puisqu'il y en a deux à cet étage. Je montre :
Les murs sont prêts et on voit bien mieux le conduit d'aération à droite.
En parlant d'aération, place aux fenêtres :
C'est trôbô. On remarquera aussi la pince à linge ultra glamour pour maintenir tout ça en place. Tiens, une remarque un peu technique : j'ai laissé tomber le tambour pour l'instant. Il est en place sur la toile de la Pixie et j'ai eu la flemme de l'enlever. Finalement, c'est pas mal du tout comme ça.

J'ai mentionné deux pièces pour cet étage. M'sieurs-dames, la porte de séparation :
Tout ceci est follement impressionnant. Cette pièce est bien petite, me direz-vous. Effectivement, vous répondrais-je, dans cette pièce, on a pas besoin de beaucoup de place, juste de beaucoup de pq, mouahahahahahah et je le prouve :
Ouiiiiiiii, j'ai brodé du pq. C'est énorme, cet ouvrage est grandiose. Il est non seulement très joli, très coloré mais super drôle à faire. Rien à voir avec plein de trucs que je vois fleurir de ci, de là, prout-prout à souhait et coincé du cul sans espoir de retour.
Brèfle, les chiottes (puisque c'est de celà qu'on parle depuis tout à l'heure) sont terminés :
Reste à cet étage la salle de bains. Mais que les esprits pétris de politiquement correct (et qui ne font jamais caca) se rassurent, pas de fesses ou de seins dans la baignoire, juste un chat. Ouf, la morale est sauve.

1 commentaire:

On dépose ses croquettes ici...